Afin de comprendre les critiques littéraire du livre Apeirogon, voici le synopsie de ce manuscrit.
Ensuite, les critiques seront détaillées.
Apeirogon - Livre de Colum McCann
Rami Elhanan est israélien, fils d’un rescapé de la Shoah, ancien soldat de la guerre du Kippour ; Bassam Aramin est palestinien, et n’a connu que la dépossession, la prison et les humiliations.
Tous deux ont perdu une fille. Abir avait dix ans, Smadar, treize ans.
Passés le choc, la douleur, les souvenirs, le deuil, il y a l’envie de sauver des vies.
Eux qui étaient nés pour se haïr décident de raconter leur histoire et de se battre pour la paix.
Afin de restituer cette tragédie immense, de rendre hommage à l’histoire vraie de cette amitié, Colum McCann nous offre une oeuvre totale à la forme inédite ; une exploration tout à la fois historique, politique, philosophique, religieuse, musicale, cinématographique et géographique d’un conflit infini. Porté par la grâce d’une écriture, flirtant avec la poésie et la non-fiction, un roman protéiforme qui nous engage à comprendre, à échanger et, peut-être, à entrevoir un nouvel avenir.
Apeirogon, n.m. : figure géométrique au nombre infini de côtés.
Critiques Littéraire du livre Apeirogon
Avis internautes :
– « Je ne sais pas par quel bout vous parler de ce roman, il est tellement et incroyablement riche, que toute parole à son sujet sera simpliste et réductrice j’ai l’impression. En tous cas, il confirme le fait que Colum McCann est un grand, très grand écrivain ! »
– « Je découvre Column McCann. Ressenti immédiat : c’est un écrivain courageux
Car le sujet traité, les rapports entre Israël et la Palestine, est périlleux
Plusieurs années de recherche et d’écriture pour aboutir à ce gros livre parfaitement maitrisé »
RTBF : « Apeirogon de Colum McCann, un roman bouleversant, intelligent, poétique et critique, engagé pour la paix »
Les échos : « Livre d’histoire(s) écrit au présent, ce roman d’espoir « inespéré » nous fait autant aimer les deux peuples déchirés que leur terre brûlante de vie. Si les livres pouvaient sauver le monde, « Apeirogon » serait en tête de pile… »