Un coupable presque parfait, résumé

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Afin de comprendre pourquoi Un coupable presque parfait fait parti des meilleurs essais de l’année 2020, je vous propose un résumé du livre.

Résumé du livre Un coupable presque parfait aux éditions Grasset

La chute du mur de Berlin a plongé les gauches européennes en plein désarroi. Sur le champ de bataille des idées, le progrès, la liberté et l’universel ont fait place à une nouvelle triade directement importée des États-Unis : le genre, l’identité et la race. 

Les progressistes se battaient jadis au nom du prolétariat, du tiers-monde et des damnés de la terre. Trois discours – néoféministe, antiraciste et décolonial – désignent désormais l’homme blanc comme l’ennemi : son anatomie fait de lui un prédateur par nature, sa couleur de peau un raciste, sa puissance un exploiteur de tous les « dominés ». 

L’enjeu de cet essai est d’analyser comment la concurrence des genres, des races et des communautés est en train de remplacer la lutte des classes, de balayer la méritocratie et de détruire l’idée d’humanité commune. 

Faire de l’homme blanc le bouc émissaire des minorités « intersectionnelles », ce n’est jamais que remplacer un racisme par un autre et nous condamner à l’horizon funeste de sociétés tribalisées, crispées sur leur trésor identitaire et en proie à la guerre de tous contre tous.

Mon avis

Le résumé du livre Un coupable presque parfait  ne suffit pas forcément à se faire un avis, c’est pourquoi je vous propose le miens :

Avec ce livre l’auteur dénonce de nombreux procès  faits aux hétérosexuels blancs de sexe masculins que ce soit par des antiracistes identitaires ou des néo féministes. On note que ce phénomène venu des Etats Unis atteint des sommets de rejet de l’autre. L’Europe, quant à elle commence elle aussi à être gagnée par ce phénomène. 

A vous de voir comment vous interpréteriez cette mise en garde face à l’évolution de la société? 


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