Afin de comprendre pourquoi Le crépuscule de l’universel fait parti des meilleurs essais de l’année 2020, je vous propose un résumé du livre.
Résumé du livre Le crépuscule de l’universel – aux éditions Cerf
Nous avons cru que les droits de l’homme valaient partout et pour tous. Ils sont désormais dénoncés à l’extérieur par les autres civilisations et à l’intérieur même de nos démocraties. Comment penser cette crise ? Comment y répondre ? Comment maintenir l’idée de l’Universel ? Par l’une des grandes philosophes d’aujourd’hui.
Après la Seconde Guerre mondiale et la chute du mur de Berlin, nous avons cru à la victoire définitive de notre vision du monde, caractérisée par l’individualisme libéral, le cosmopolitisme et la démocratie des droits de l’homme.
Mais depuis le tournant du siècle, plusieurs cultures mondiales s’opposent clairement et fermement aux principes occidentaux considérés jusque-là comme universels. La démocratie est décriée ou dégradée, et l’autocratie nommément défendue, en Chine et à Singapour, dans certains pays musulmans, en Russie. En outre, apparaissent au sein même de l’Occident des gouvernements dits populistes ou illibéraux, opposés au libéralisme et à l’individualisme postmodernes. Ce débat conflictuel déployé tant sur le plan occidental que sur le plan mondial traduit un nouvel assaut de la vision du monde traditionnelle, holiste, face à la vision progressiste et individualiste.
Des deux côtés fleurissent les excès. En Occident, l’humanisme classique transformé en humanitarisme. En face, des cultures parfois devenues des idéologisations de leurs traditions. C’est un énième épisode, mondialisé, de la discorde entre les modernes et les anti-modernes : ce qu’on a appelé au xxe siècle la » guerre des dieux « .
Mon avis
Le résumé du livre Le crépuscule de l’universel ne suffit pas forcément à se faire un avis, c’est pourquoi je vous propose le miens :
Ce livre propose de nombreuses références sont citées, vairées en sources, et époques.
La structure est claire. Il y a même un résumé à la fin. le style est très clair, même si l’auteur ne cache pas son avis. Les arguments présentés semblent objectifs.
C’est assez remarquable d’avoir une telle clarté. Bien que le livre traite de civilisation, sociétés, et la considération de la personne humaine.
C’est un livre qui peut plaire à toute personne qui s’intéresse à la plaque de l’homme et aux limites du modèle « humanitaristeé.