Afin de comprendre les critiques littéraire du livre Saveurs du pain perdu, voici le synopsie de ce manuscrit.
Ensuite, les critiques seront détaillées.
L’or du forsythia Il faudra bien revenir un jour quand la force de nos bras aura chu dans les seaux quand nos jambes seront de laine et le sol plus mouvant que les eaux quand l’oreille bourdonnera comme un nid de frelons frappé par l’orage et que l’oeil cherchera l’aube en plein midi il faudra revenir ici calmement et s’asseoir au milieu de soi pour voir le monde alentour comme l’or du forsythia.
Avis des internautes :
– « Après nous avoir émus aux larmes avec le roman « Géromino a mal au dos », Guy Goffette, poète contemporain majeur, revient à la poésie.
Il ouvre son recueil par la définition du « pain perdu », correspondant au titre éponyme et au chapitre final. Un opus articulé en 10 chapitres auxquels viennent s’ajouter des poèmes exhumés des tiroirs, mis en réserve. »
– « Qu’est-ce que nous avons des talents poétiques dans ce plat pays qui est le mien !
Voilà un recueil aussi goûtu et goulu que son titre.
Précipitez-vous ! Enfin pas trop. Savourez plutôt. »
RTBF : « Chez Goffette, rythme, image, sonorité sont au service du poème, non du poète, nulle ostentation, ni démonstration de camelot faisant l’article du verbe. »
Esprit Presse : « Le poète réunit à la table du présent des poèmes dispersés par le vent, balayés par le temps. Il a récolté la poussière, rassemblé les miettes (merveilleuses), ordonné ce rien décisif que nous appelons poésie. »