Afin de comprendre les critiques littéraire du livre Au bonheur des filles, voici le synopsie de ce manuscrit.
Ensuite, les critiques seront détaillées.
Au bonheur des filles- Livre de Elizabeth Gilbert
New York est une fête !
Du haut de ses 19 ans, Vivian sait déjà qu’elle ne veut pas du destin tout tracé par ses parents. Mais de sa bulle protégée, elle est loin de s’imaginer le tourbillon incroyable qu’est New York au début des années 1940. Alors, quand après un énième échec scolaire elle est envoyée chez sa tante Peg qui possède un théâtre en plein Times Square, Vivian n’en croit pas ses yeux. Entre la ville qui vibre sans cesse et la troupe d’artistes et de danseuses qui cohabitent joyeusement dans le théâtre, Vivian découvre l’exubérance, la fête et la liberté. Surtout auprès de sa nouvelle amie Celia, une sublime showgirl très émancipée pour l’époque… Mais un faux pas lors d’une virée nocturne fera hélas chavirer le nouveau monde de Vivian et la renverra à la case départ.
Quand on a goûté à la liberté, peut-on y renoncer ?
Critiques Littéraire Au bonheur des filles
Avis internautes :
– « Au bonheur des filles est une excellente surprise, je suis très contente d’avoir pu le lire sans m’arrêter ou presque et je lui mets évidemment un énorme cinq étoiles »
– « Ouah, quel roman ! « Au bonheur des filles » fait partie de ces livres qu’on a du mal à lâcher dès qu’on a mis le nez dedans. »
Le journal de Québec : « L’auteure du best-seller Mange, prie, aime, Elizabeth Gilbert, montre à quel point les années 1940 ont donné des ailes aux femmes dans son roman, Au bonheur des filles. Avec brio, elle entraîne ses lecteurs à New York, dans le monde des théâtres et des showgirls, un univers où les femmes ont pris goût à la liberté tandis que les hommes étaient envoyés à la guerre. »
La presse : « Elizabeth Gilbert a le don de créer des personnages de femmes attachantes et libres. L’autrice de Mange, prie, aime a prouvé depuis 2006 qu’elle est beaucoup plus que la femme d’un seul succès. Elle a un incroyable talent de conteuse et ne lésine pas sur la recherche pour étoffer ses histoires. On sent qu’elle se documente énormément lorsqu’elle plonge dans une période, et sa recherche donne profondeur et crédibilité à ses romans. »